Les poèmes de Maître Carnassier

Les poèmes de Maître Carnassier

Révélation de quelle vérité ?

Poupées de chiffons, esquisse d'un portait à l'effigie neutre.
Tu imagine sa voix... Tu ne l'as pas entendu depuis hier soir.
Instinctivement, il s'approche de la vitre sans s'en rendre compte.
À ce moment où il te voit, tu te relève, faible.
Des centaines de personnes t'entourent, et, aperçevant une masse informe d'humains, les différentes conleurs te dont trop mal aux yeux.
Soumis à cette douleur, la clarté des na-uages blancs t'aident à t'assoit sur le capot de la voiture sur laquelle tu t'es, par inadvertence, projeté.
Il va venir, il doit venir, ça le brûle de désir de venir te secourir, car c'est le seul à t'entendre.
Mais...
Que va-t'il faire, encore hésitant et inquiet par tes actes.
Suicide, cellule... Ces deux mots se heurtent dans vos esprits presque communs.
Ça se profane à l'intérieur de ton ame, tu vogue, errant, et il sait bien ce qu'il doit faire.
Mais pourquoi ?
Il est partagé enotre deux volontés, ses yeux effacés sous sa frange crêpée.
Disparition. How can i say this suffering ?...
Es el sangre...
 ALors tu trébuche et tu tombe sur le gravier, ta joue sauvagement griffée.
Ton poignet se tord violement, et tu soupire une dernière fois.
 Sensations pures à l'état brut.
Il te regarde avec mépris, te neriant dans un sourire ironique.
Atroces horreurs, tu te sens répudié, anéantie, c'était sa force qui te tenait.
Tu t'évanouisn peut-être mort, sans plus aucun conscience, une perte totale de mémoire.
Il décolle alors ses lèvres des tiennes, se relève.
Une infirmière l'appelle, il lui répond d'un signe sans te quitter du regard.
Il ôte sa main de ton coeur.
Tu t'essouffle, ta resiration quelque peu haletante.
Que s'est-il passé, qu'est-il, cet amour ?...
Est-ce l'effet produit sur toit, que juste en le voyant, qui t'a fait tout ce bien, mais aussi affligé autant de souffrance ?
Vous êtes deux hommes, nature masculine, deux êtres virils.
Il a le triple de ton âge, tu es si jeune.
Tu n'arrive à bouger que ta tête, lle reste de ton corps caché sous un draps, allongé sur un lit d'hôpital.
Il se lève et debout, tout droit.
Tu te sens bien auprès de lui.
Tesp laies, lésions et cicatrices entrouvertent...
Quel massacre que tu as fait de toi.
Ça te paraît laid, tu te semble voir hideuse créature, mais à ses yeux, ta beauté est toujours.



11/03/2011
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